Les villes de Jean-François Coatmeur






Un portrait intime de Jean-François Coatmeur par son neveu Joël dit Jo de Douarnenez : sa petite enfance à Pouldavid, son adolescence, sa scolarité au Petit Séminaire de Pont-Croix, son métier d'enseignant et puis l'écriture... ses joies et chagrins...
Le bourg de son enfance qui sera, en 1945, rattaché à Douarnenez et qui, dans les années 1960 perdra la majorité de son anse, comblée pour construite une zone industrielle et des logements
L’adolescence, les études secondaires de la 6ème au bac Philo au Petit Séminaire Saint-Vincent-de-Paul pendant les années de guerre.
Un souvenir qui restera douloureux.
La ville de l'écrivain.
«Je ne figure point parmi les nostalgiques du Brest de Mac-Orlan»
Arrivée en la cité du Ponant en octobre 1951, il faudra plus de 20 ans à l'auteur des Sirènes de Minuit pour adopter la citée.
Douar an enez, la terre de l'île, la ville dont la baie contiendrait la citée engloutie d'Ys, la ville de la maison familiale, la ville des vacances, la source d'inspiration de sa première pièce en 1953 et de nombre de ses romans, là où tout finit...
Plusieurs romans ont été adaptés, principalement pour la télévision : Les Sirènes de Minuit, La Bavure, Le Squale, Morte fontaine.
Une nouvelle, «La Fiancée» a été adaptées pour trois courts métrages.
Le seul roman adapté pour le cinéma, La Nuit rouge a été un fiasco «J'avais honte. on a décidé de faire interdire l’exploitation commerciale du film» dira Coatmeur.